Faciliter le retour sur investissement c'est dépenser à bon escient
en fonction des étapes du projet.

Ce qui coûte avant la GMAO.

Le temps passé en interne à trouver de bons arguments pour se démontrer à sois-même et aux autres que l’on a réellement besoin d’un outil de GMAO. Cette étape est parfois jalonnée de test avec des outils internes qui prennent du temps à développer et qui sont utiles pour fixer les limites de ce que l’on est capable de faire soit même. Ils participent à la prise de décision.

Le temps passé pour écrire un cahier des charges ou pour synthétiser ses propres besoins.

Le temps passé à la recherche du bon outil, consulter les différents acteurs du domaine, les recevoir, analyser, et tester.

Ce qui coûte pendant la mise en oeuvre de la GMAO.

Ce qui coûte en phase d'exploitation de la GMAO.

NB : Les temps passés à saisir les données quotidiennes sont assez faibles. De plus ils ne constituent pas une charge de travail supplémentaire en comparaison du temps gagné lors des diagnostiques possibles grâce à la consultation des historiques. 

Ce qui rapporte en phase d'exploitation de la GMAO.

Quelques études ont été réalisées pour quantifier les gains obtenus par l’utilisation d’une GMAO. l’AFIM (Association de ingénieurs de maintenance) en 2002 a synthétisé quelques chiffres pour l’industrie :

La performance que l’on peut en attendre d’un GMAO est variable en fonction du secteur de l’entreprise.

Le calcul du ROI de la GMAO dépend beaucoup de la capacité de l’entreprise à faire un état des coûts de maintenance « avant GMAO » ce qui est souvent complexe car les informations ne sont pas ou peu connues.

Il est fort probable que les gains soient beaucoup plus élevés lors des premières années d’exploitation de la GMAO.

Dans tous les cas et lorsque la GMAO a été correctement mise en oeuvre il y a des gains significatifs.

Voir la page des bénéfices obtenus